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mercredi 3 janvier 2018

(Mon) Panthéon Du Rock # 1 : The Faces (par Le Duke)



Saison 1973, Les Faces remportent le championnat d'Angleterre de League One (l'équivalent de notre deuxième division) rock'n'roll avec dix longueurs d'avance ! 
Humble Pie et Mott The Hopple, distancés, n’accéderont pas à la Premier League... "
Rod Le Zob" sacré meilleur pointeur de la saison quitte l’équipe pour une 
carrière américaine et ramasse la mise. 
Ah, ah, les p'tits loups, il faut que je vous conte l’aventure de ces lascars, parce que je les adore. 
Au début, furent les Small Faces (c’est pas des blagues, ce nom, ils ressemblent vraiment à des 
réductions de têtes d’indiens Jivaros ou, alors, ils ont dû souffrir de malnutrition étant jeunes, 
particulièrement Mariott et Lane qui arborent les mêmes oreilles en chou fleur dépassant de leur 
coupe "Fab Four " naissante, un peu à l’image du jeune Keith, tiens donc ?). [Ici, le nom Faces évoque davantage une "figure" qu'un "visage", dans le vocabulaire modernist, un "face" est une sorte de "super mod" particulièrement apprécié pour l'excellence de ses goûts musicaux et vestimentaires (note de Jimmy).] 
Donc les Small Faces sont ce groupe génial que vous connaissez. Pendant les mid sixties, sous la 
férule de Don Arden, manager aux méthodes mafieuses, qui leur refilait vingt livres par semaine [mais un crédit illimité dans les meilleurs boutiques de fringues (note de Jimmy)], puis de 
l’inspiré Andrew Loog Oldham sur son label Immediate Records, ils alignent les hits imparables 
et stylés (Watcha gonna do, Lazy sunday, Itchicoo park, Tin soldier etc.) à l’instar de leurs 
contemporains britishs : Who, Yardbirds, Action, Creation, Pretty things, Rolling stones, Kinks, 
Them, Animals… et j’en passe car ils sont nombreux et ont les dents longues. 
Ils sont en train d’écrire l’Histoire du rock, pendant qu’en France on nous infuse du Johnny (R.I.P. in St. 
Barth) et la bande de yéyés pourris chaperonnés par Albert Raisner à l’harmonica. 
Inutile de préciser que nos têtes chétives ont été biberonnées à la soul pur jus et au rythm’n'blues 
énergique plus qu’au blues pur et dur (Stones, Pretty Things...) ou au rock'n'roll. 
En 1968, c’en est marre de ces groupes pop à singles, les Small Faces doivent réaliser leur oeuvre 
maîtresse tels les compagnons du devoir s’ils veulent accéder au niveau supérieur de la hiérarchie. 
Hendrix, Cream, Pink Floyd et consorts sont en train d’enflammer la scène londonienne tandis 
que Led Zeppelin fourbit ses armes de destructions massives ! 
Il s’agit du concept album - et psychédélique pour corser l’affaire ! Depuis Sergent Pepper, les Beatles 
ont imposé l’exercice. En réalité, il s’agit de mettre en musique un conte ou une histoire débile sous 
différents thèmes, d’agrémenter le tout d’improvisations fumeuses avec instruments exotiques 
divers et variés, le tout entièrement exécuté sous l’emprise de stupéfiants lysergiques et de décréter 
une fois la tache terminée qu’il s’agit d’un chef d’oeuvre. 
Certains groupes ont pris cela très au sérieux, on a même parlé d’opéra rock pour les Who ! Les 
critiques ont fait des gorges chaudes de ces albums qui sont jugés encore aujourd’hui comme des 
sommets artistiques. J’aime bien le Satanic Majesties des stones car on voit bien qu’ils n'en avaient 
rien à battre, à part Brian Jones, et qu’ils ont bâclé le truc. 
Pour les Small Faces, ce sera Ogden’ s nut gone flake, une histoire de tabac à rouler ou j’ai rien 
compris ? 
Pour les Pretty things, ce sera S.F. sorrow, un truc vaudou qui fait froid dans le dos avec le Baron 
Saturday… 
Les concepts albums sonneront le glas de tous les groupes mod /freakbeat/ high energy, trop 
éloignés de leur base r'n'b et incapables de jouer cette mélasse en concert devant un public qui leur 
réclamait leurs premiers hits pop. (Les Beatles, pas cons, avaient arrêté de faire des concerts depuis 
belle lurette et pouvaient s’éclater en studio, ah ah !) 
A la suite de ce flop prévisible et de la faillite du label Immediate, Steve Marriott s’en va former 
Humble Pie avec Peter Frampton (ex the Herd, autre groupe mod). Marriott qui était un chanteur 
extraordinaire du temps des Small Faces se met à hurler comme un forcené sur des morceaux sans 
grande finesse (c’est du rock besogneux qui peut être agréable parfois sur certains albums (Smoke 
it !, Eat it ! attention à l’indigestion tout de même…), mais je défie quiconque de s’enfiler 
jusqu’à la fin les quatre faces du live : Rockin' at the Fillmore figurant pourtant dans toutes les annales 
encyclopédiques du rock et dans le numéro 54 de Best Les 100 Meilleurs album du rock qui a servi de 
base à la construction de ma discothèque, mais je m’égare une fois de plus... "
Ain’t nobody white can’t sing the blues", chantait Mitch Ryder qui en connait tout de même 
un rayon sur le sujet. 
Frampton décrochera la timbale américaine en solo avec Frampton comes alive et son 
insupportable scie à la talk box : Show me the way qui fera date, et Marriott après une tentative 
solo et reformation des Small Faces sans Ronnie Lane tombera dans les oubliettes du rock; il 
succombera à l’incendie qu’il avait lui-même provoqué (un sale coup de baron Saturday peut 
être ?). Quel gâchis ! 
Mais revenons à notre affaire. 
Nos trois têtes réduites se retrouvent sur le carreau avec le nom du groupe en héritage, décapité 
(ouah !) par le départ de leur frontman chanteur et guitariste. Ils vont alors tirer au grand jeu de chaises 
rock’n roll deux cartes maîtresses pour réaliser le flush royal (ou du moins un joli full house qui n’est 
pas une mauvaise main non plus). 
J’ai nommé : Rod "jamais de slip sous ton kilt" Stewart et Ronnie "Woody Woodpecker" Wood en 
provenance du Jeff Beck Group avec lequel ils avaient posé quelques bases du heavy rock. 
Ces deux-là, ils seraient plutôt issus de la tribu des long faces avec un sérieux problème capillaire 
d’épi permanent dans les cheveux de type sortie de lit après grosse biture qui ne cadre pas avec leur 
compères les trois réductions Jivaros. 
C’est ma théorie selon laquelle le groupe aurait abandonné le "small" pour devenir les Faces tout 
court, mais tout cela n’est que vaine supputation. 
Bon alors, je résume : l’équipe de galactiques qui va attaquer le championnat : a
ux avant-postes : 
Rod Stewart : gosier râpeux aux effluves de tourbe sentant bon le vieux malt des Highlands, a
ime la chatte fraîche et le cognac Rémy Martin ; 
Ron Wood : tout sauf un manchot de la six cordes : "
il connait son Big Bill Bronzy par coeur" dira de lui Keith Richards avant de le recruter. 
Féru de bottleneck, il ouvrage ici bien mieux qu’avec les Stones (J’ai aussi une théorie 
pour cela, mais on n’a pas le temps !) 
Ne crache pas sur le Chivas Regal et autres remontants... 
En défense : 
Ronnie Lane : bassiste souple et mélodique, il forme un attelage chevronné en défense centrale avec 
Kenney Jones et o
fficie également en tant que deuxième chanteur (pas assez souvent à mon gout). C'est un 
compositeur élégant dans un style plus pop que les trois autres. 
Kenney Jones : attention très grosse pointure ! Batteur de la trempe de Keith Moon qu’il remplacera 
d’ailleurs au sein des Who après son décès. 
Il est capable de modifier plusieurs fois son tempo dans un même morceau, ce qui caractérise le son 
des Faces. Jetez une oreille à I’m losing you live at the BBC pour vous faire une idée 
du client et de la rythmique des Faces... Au milieu : 
Ian McLaglan : c’est l’arme secrète aux claviers (piano/orgue), le joker, l’homme des passes 
décisives. ll apporte à la musique des Faces ce côté bastringue totalement Stonien (période Exile
j’entends) ou enrichit à l’orgue la rythmique du groupe qui est déjà monstrueuse... 
C’est dans cette configuration d’origine que les Faces nous ont livrés quatre premiers albums 
savoureux et quasiment identiques en qualité. 
Les deux derniers sont produits par Glyn Johns (je sais que ça en intéresse certains de connaitre les 
producteurs, pas vrai Milord ?). 
Leurs reprises (Dylan, McCartney ou Chuck Berry) sont impeccables notamment Memphis 
Tennessee et le Baby I’m amazed de Sir Paul, chanté à deux voix avec Lane, version qui me parait 
(là, je me risque) supérieure à l’originale. 
Il faut également préciser à la décharge du groupe que pendant toute la période des Faces, Stewart 
menait en parallèle une carrière solo et réalisera trois ou quatre albums du même tonneau privant 
ainsi les Faces de certaines de ses meilleures compositions. 
Vous ne trouverez aucuns de leurs albums dans les annales discographiques du rock et encore moins 
dans le dictionnaire amoureux du rock d’Antoine de Caunes [Ce n'est pas tout à fait vrai ! (note de Jimmy)]. Ah, ah ! 
Pourtant leur boogie faussement brinquebalant bien servi par la voix chaude et râpeuse de Stewart 
donnait sa pleine mesure en live et restera une bulle d’oxygène dans l’univers rock du début des 
seventies. Pendant que les autres concurrents emplissaient les murs d’amplis Marshall au service du 
hard rock naissant en poursuivant en vain le dirigeable hors d’atteinte et si haut dans le ciel, les Faces 
déroulaient faciles à la conquête du titre. 
Bowie et les Dolls allaient remettre de l’ordre dans la maison en attendant le grand nettoyage final 
de 77. 
Las, les Faces ne seront jamais considérées comme un groupe sérieux - et c’est tant mieux ! Il faut une 
bonne dose de "stupidité" pour faire du bon rock’n'roll, c’est Iggy qui l’a dit. 
Vas-y, Woody, tricote nous ton solo sur ta gratte en couvercle de chiottes et toi, Rod, moulé dans ton 
pyjama de satin jaune continues à balancer ton pied de micro. Vous avez gagné le titre en 73 en League One 
et celui-là personne ne viendra vous le retirer ! Et pour cet exploit, vous 
entrez au panthéon du Duke pour l’éternité…


Discographie selective :
The Faces : First step, Long player, A no dis as good as the wink…, Ooh la la.
Rod Stewart : An old raincoat won’t ever let you down, Gasoline alley, Every pictures tells a 
story, Never a dull moment.
Ron Wood : I’ve got my own album to do.
Pete Townshend & Ronnie Lane : Rough mixes.
Ces deux derniers albums étant chaudement recommandés, il s’agit de semi-classiques. [S'il vous manque un de ces grands disques, n'hésitez pas à demander (note de Jimmy).]
LE DUKE [Vous prendrez bien le temps d'un petit commentaire !]


22 commentaires:

  1. Merci, Le Duke, pour cette belle entrée en matière et bienvenue dans l'équipe des Lustucrus !

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    1. J'espère que tu obtiendras de jolis commentaires, parce que j'ai déjà beaucoup saoulé nos amis avec les Small Faces, les Faces, Rod et Ronnie...

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  2. En cette période où les Girondins offrent aux yeux d’un monde ébahi un jeu aussi spectaculaire qu’efficace je dirais que l’analogie footballistique de ce post tombe à pic.
    Ebahi je le fus longtemps également par Rod Stewart, plus précisément par les créatures qu’on voyait en photo accrochées à son bras, dans Best bien sûr : bien plus jeunes que lui et bien plus vieilles que moi, le cocktail était, comment dire, émouvant pour un préado early 70’s ! Si ça se trouve c’est cette pointe de jalousie qui m’a toujours empêché d’apprécier le dandy à sa juste valeur …
    73 ce fut surtout pour moi l’achat du premier 33T, Aladdin Sane et cette pochette dont je me demandais bien comment la justifier à mes parents, première pierre d’une perversion qui me poursuivra toujours j’en ai bien peur. Ou pourvu que ça dure, c’est selon.
    Welcome (si je peux me permettre) et surtout : well done Boy !

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    1. Puisque tu parles de jeunes femmes, Rod devait avoir compris qu'en prenant le micro de Marriott, il pouvait également emprunter sa nana, ce qu'il fit sans autre forme de préambule!

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    2. Je pose la question : peut-on considérer ça comme un but contre son camp ?..

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    3. Non, parce qu'il y avait eu transfert!

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  3. Et il passe quand le match alors ?

    Nonostant la qualité de ce billet sportif, j'ai noté un truc : mais je défie quiconque de s’enfiler
    jusqu’à la fin les quatre faces du live : Rockin' at the Fillmore


    J'ai fait ça il y a quelques temps, du premier au dernier titre. Ça ne m'a pas rendu plus amoureux du disque ni du groupe d'ailleurs mais juste pour dire que attention faut pas me lancer des défis alacon comme ça.

    Quant à savoir combien de buts a marqué Le Rod au cours de la saison 73, il faut donc s'en remettre aux pages de Best / Gala.

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    1. Moi je me contente de Gilded Splinters, mais en boucle, pas en file.
      Bonne Année Branleur !

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    2. C'est promis je vais m'enfiler la totalité de Zen arcade avant de me faire une idée sur ce groupe au nom mystérieux (c'est pas du métal au moins?). Mais d'abord il faut que je fasse la punition que m'a donné oncle Jimmy: Kenney, Kenney, kenney... c'est pas juste jimmy!, sur les notes de pochettes de l'édition américaine de "second player " il est écrit KENNY JONES aux drums.
      Pour en revenir aux pages de GALA, le problème du rock, c'est justement qu'il a déserté les pages de GALA et autres TABLOIDS. Les kids ont besoin de posters à coller sur les murs de la chambre hors la totalité des groupes sont totalement désincarnés ou présentent des charismes de poulpes genre " Black keys"." si tu veux qu'ils écoutent donne leur un truc à voir " est un vieil adage du show business que Malcom Mac Laren avait bien compris.
      Aujourd'hui personne n'aurait les couilles de se présenter sur scène en drag queen comme l'ont fait les dolls et on a beau détester BONO c'est le seul à faire son JOB de rock star.
      Le DUKE

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    3. Il ne faut jamais prendre les éditions américaines des groupes britanniques (voir Beatles, Stones etc.).
      Et qu'est-ce que tu penses de Lady Gaga et de sa robe en viande ?!

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    4. Je ne dis pas facilement du bien des gens mais c'est vrai qu'on le déteste ce Bono.

      Quant au charisme des groupes...Autre temps autre mœurs, aujourd'hui on préfère mettre en avant des morceaux de silicone avec le QI d'une huître avariée.

      Et moi j'aime bien le poulpe.

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    5. Et le chapeau de Jim White, il ne fait pas suffisamment rock star?!

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    6. Si Bono se pointait en drag-queen j'écouterais peut-être ce qu'il a à dire.

      Absolument, le chapeau ça classe son bonhomme contrairement au bonnet du benêt qui accompagne la drag-queen qui s'ignore, et d'ailleurs je travaille là-dessus ... teaser !!

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    7. J'avais pas le sou pour m'offrir l'édition anglaise et sa belle pochette art déco jimmy..., et pour le poulpe mois aussi j'aime ça mais il faut le frapper sévèrement avec un gros maillet pour le rendre bien savoureux. Ce jim White il a un jolie chapeau mais aussi une casquette de plouc à la "délivrance".Il est vraiment excellent merci, mais je doute que l'on puisse en faire une rock star. TROP VIEUX
      Vous aurez beau chercher il n'y a plus de patron dans la baraque pour remplacer ROD le MOD
      A part ça lady gaga ferait partie de l'histoire du GLAM?? vous avez des infos la dessus???
      Le duke

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    8. C'est qui Lady Gaga ? C'est le nom d'un poulpe ?

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  4. sacré beau billet !
    pour un peu il donnerait envie d'écouter The Faces (ça c'est pour taquiner JJ ^^)
    merci pour cette contribution qui permet de démarrer l'année en beauté (ce n'est pas rien !)
    le "1" est intrigant, on a envie de connaître les suivants maintenant :)

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  5. Merci pour le compliment,
    Le but étant finalement étant tout de même de vous faire écouter The Faces le travail est presque réussi
    J'espère que la série ne fait que commencer car j'ai d'autres candidats qui attendent d’être intronisés
    Le duke

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  6. Je n'ai été convertie aux Faces que récemment. En fait, lors d'une nième piqure de rappel de messire Jimmy, qui m'a dans la foulée forcée à écouter l'intégrale.
    Et, même s'il faut faire un peu le tri (mais on le fait pour d'autres ans chouiner, n'est-ce pas?), les Faces ont effectivement un beau répertoire avec une instrumentation et voix superbe.
    Je ne connaissais pas forcément leur histoire (si quand même) mais racontée ainsi, elle gagne un charme certain.

    Bienvenu à toi, le Duke (le nom, ça vient des frères Coen ou de Bowie?)

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    1. Ça serait plutôt un mix de mon joueur de bowling préféré
      "THE DUDE" (traduit le duc dans la version française) qui écoute du Creedence dans son carosse et d'un DJ trés pointu de "GOOD MORNING ENGLAND" qui se fait appeler "le duc". On est pas trés loin de Bowie non plus, période "all the young dudes" plutot que thin white duke pour moi.
      En tout cas merci à tous et à toi Audrey pour votre accueil
      le Duke

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    2. Pour moi, Duke, c'est bien sûr " We love you madly" Ellington. Bravo pour ton entrée sur scène, Duke. C'est une belle réussite.

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  7. Des chroniques comme je les aime. Je me suis régalé et me voici à 8h du matin (mais un Vendredi quand même) me passant "(I Know) I'm Losing You", curieux ensuite du "Maybe I'm Amazed". Je me suis trouvé l'album (Pirate?) d'un concert BBC 1972. Par rebond tu m'as replongé dans cette période grandiosa, que je vais me rechercher les bons moments de Georgie Fame (Sound Venture) Voilà, tu m'as donné la pêche, limite à me jeter une Guiness bien tiède après mon café. Bon, restons raisonnable, et entonnons "All Or Nothing" Les grands hommes au Panthéon!!!

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    1. Le Poule! Surgelé aussi bien que la frappe, j'ai fait les deux, surgelé ça défoule moins mais on gagne du temps

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